12 mai 2011
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14:11
Mandy Lane. Belle. Pure et innocente. Une reine lycéenne en attente d'être couronnée. Depuis le début de l'année scolaire, tous les garçons ont cherché à la conquérir.
Certains ont même trouvé la mort dans leur quête désespérée de cet ange texan de 16 ans.
Chloe et Red invitent Mandy à passer le week-end dans un ranch familial. Pour Mandy, c'est une opportunité de se faire de nouveaux amis. Pour les garçons présents, une chance unique de la
côtoyer. Sur la route qui mène au ranch, les travaux d'approche commencent...
Un film qui a fait beaucoup parler de lui, en bien, et je ne vois pas pourquoi.
Ce film n'a rien de plus qu'un autre slasher ou film d'horreur. D'ailleurs, je ne sais même pas dans quelle catégorie le classer car rien n'est vraiment clarifié. De plus, les personnages
sont totalement creux. A aucun moment, on ne comprend réellement les émotions de Mandy Lane. Les autres ne sont que des figurants qui meurent de façons très minables. Les scènes d'horreur n'en
sont pas et le film devient ennuyeux tellement il n'a rien à proposer. Et ce n'est pas la fin à la Scream, de plus très
prévisible, qui relève le niveau.
Le seul passage marquant reste le générique de fin sur Sealed with a kiss de Bobby Vinton qui colle parfaitement à la pureté
du visage de Mandy Lane jouée par la désirable Amber Heard.
Titre Original : All the boys love Mandy Lane
Réalisation : Jonathan Levine
Durée : 1h 28
Année : 2006
Origine : E.U.
Genre : Horreur
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FILMS
11 mai 2011
3
11
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/2011
13:50
A l'aube de l'an 2000, la ville de Detroit est
serieusement menacee. La couche d'ozone a ete detruite par l'extreme pollution, les citoyens sont a la merci des bandes organisees qui diffusent largement une drogue tres puissante. Robocop et
Lewis combattent sans relache les criminels, mais l'OCP veut mettre en service un nouveau robot.
Tout comme le premier opus, Robocop 2 décrit une société futuriste où la violence urbaine est à son apogée. Malheureusement, bien
plus que dans la version de Paul Verhoeven, le rendu de cette violence est assez rétro et peu crédible, surtout aujourd'hui, en 2011.
Hormis cela, Robocop 2 est l'exemple même de la suite ratée.
Irvin Kershner, réalisateur de ce second opus, tente désespérément de reproduire l'esprit et le potentiel du premier Robocop. Malheureusement pour lui, il n'y parvient pas une seule
fois. Et tout ce que Verhoeven a habillement évité, Kershner fonce droit dedans. On se retrouve donc avec des personnages à la limite de la caricature, voir ridicule ( un môme chef de gang et
dealers de drogue). Et surtout, on assiste à ce que Verhoeven s'était évertué à ne pas réaliser, un combat entre machine en stop motion. Tout simplement ridicule et même écoeurant. Le film traîne
en longueur et aligne les scènes dérangeantes.
Ce deuxème opus est tout simplement de trop.
Réalisation : Irvin Kershner
Durée : 1h 57
Année : 1990
Origine : E.U.
Genres : Action, Policier, Science-fiction
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FILMS
10 mai 2011
2
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16:25
Detroit est un grand champ de bataille entre la police et les gangsters. Dorénavant, la répression policière est dirigée
par un groupe privé , L'OCP . A la mort de lagent Murphy, L'OCP se sert de son corps pour créer un policier mi homme / mi machine. Ce super flic va mettre de l'ordre en ville...
Film de science-fiction culte, Robocop a marqué des générations avec son apparence, son gros flingue qui sort de sa jambe et
surtout avec sa phrase qui résonne encore dans l'esprit de tous : " Murphy, c'est vous ?" . Sans parler du score qui est tout simplement devenu légendaire.
Le plus drôle, c'est qu'après un visionnage récent, on s'aperçoit que le film évite de peu le ridicule. Et c'est aussi le preuve du savoir faire de Paul Verhoeven. En 1988, les effets de synthèse
ne sont pas encore d'actualité. L'outil pour les effets visuels est le stop motion, outils utilisés pour réaliser les mouvements du ED-209, d'où la scène ridiculement drôle de la chute
d'escalier. Verhoeven perçoit dès le début les limites de cette machine, et évite l'affrontement auquel tout le monde espérait. Et c'est une très bonne chose car le stop motion est très limité
(cf Robocp 2). L'autre aspect qui frise le ridicule est la mobilité de Robocop (ralenti, lourdeur, langage saccadé) . Ce qui est sûr, c'est qu'il y a une sacrée différence avec les machines que l'on peut voir au
cinéma aujourd'hui : Iron Man, Transformers, Terminator Salvation... Paul Verhoeven contre-balance tous ces handicaps en accentuant la violence visuelle. Et ce dès le début du film,
lors du teste du ED-209. Idem pour le final contre Boddicker et sa bande. Mais toutes ses actions ne laissent sur leur passage que des scènes cultes : la mort de Murphy, la mort d'Antonowsky dans
l'acide... Le tout est agrémenté d'infos télévisées et de pubs sur des produits de luxes des plus incipides. Tout comme dans Starship
troopers, Verhoeven parvient à placer un discourt sur l'extrême violence du monde dans lequel évolue son film, en reflet à notre propre monde.
Réalisation : Paul Verhoeven
Durée : 1h 51
Année : 1988
Origine : E.U.
Genres : Policier, Action, Science-fiction
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FILMS
8 mai 2011
7
08
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/2011
15:54
Sur le point d'accoucher, une femme se rend à la maternité quand elle est foudroyée. Miraculeusement, son enfant, le petit Jeremy Reed, survit mais il naît albinos, dépourvu de système pileux et
doté de pouvoirs paranormaux. Elevé par ses grands-parents dans la cave de la maison, il est délivré après quinze ans par le shérif et placé dans un établissement spécialisé...
Powder est, avant tout, un film très émouvant sur le thème de la différence.
Victor Salva aborde ce thème par une approche à la fois très humaine, mais aussi fantastique en faisant du jeune Jeremy un être doué de pouvoirs psychiques. Différent par son aspect
physique et ses dons, le garçon passera au-delà de la peur humaine de l'inconnu et de la différence pour nous révéler la beauté de l'âme que chaque possède en son coeur. Et l'acteur Sean Patrick
Flanery est criant de véracité dans ce rôle qu'il s'approprie pleinement, révélant l'ampleur de son talent et de nos émotions.
Powder est un conte sur l'âme humaine; conte métaphysique et fantastique sur une humanité encore en prise avec ses peurs les plus
profondes. Mais le film nous délivre aussi un message d'espoir, qu'un jour prochain, notre évolution nous mènera à une sagesse et une sensibilité propre à notre condition.
Tout simplement bouleversant.
Réalisation : Victor Salva
Durée : 1h 51
Année : 1995
Origine : E.U.
Genres : Drame fantastique
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FILMS
8 mai 2011
7
08
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/2011
14:04
Fils du plus grand magnat de
la presse de Los Angeles, Britt Reid ne s’intéresse qu’aux fêtes auxquelles il compte se rendre. Lorsque son père meurt mystérieusement, il hérite de l’immense empire médiatique et devient ami
avec l’inventif Kato. Pour la première fois, ensemble, Britt et Kato voient une chance de donner un vrai sens à leur vie en combattant le crime. Sous l’identité du Frelon Vert et de son fidèle
adjoint, ils entament une nouvelle vie.
Faisant appel à son ingéniosité, Kato met au point l’arme ultime, la Black Beauty, une voiture indestructible à la formidable puissance. À bord de cette forteresse mobile et grâce à quelques
gadgets spectaculaires, le Frelon Vert et Kato font des ravages chez les criminels. Bientôt aidé par la nouvelle secrétaire de Britt, Lenore Case, le duo s’attaque à l’homme qui contrôle le crime
à Los Angeles : Benjamin Chudnofsky. Le Frelon Vert et les siens ignorent que leur redoutable adversaire les a déjà en ligne de mire…
Un divertissement des plus frais et jouissif, ce Green Hornet est tout simplement excellent. Sans réinventé un style
d'action, ce film joue avec le visuel en démultipliant l'imagerie dans laquelle les combats mano-mano se déroulent. Le duo d'acteurs est parfait et hilarant. On évite complètement les clichés en
abordant le ton avec un léger décalage. Mais là où la surprise est énorme, c'est concernant le véhicule et tout ses gadgets de dingues. Absolument déraillant dans un sens très positif, il en va
sans dire. Quand au final, il "déchire". Renouvelant sans cesse le twist, le film nous balance comme un mission d'un final à un autre avant de nous allécher avec une nouvelle trouvaille
concernant la voiture.
Vivement un Green Hornet 2 !! Au moins aussi bon que le premier. Car on passe vrai un p.... de moment !!
Alors mattez le !!
Réalisation : Michel Gondry
Durée : 1h 57
Année : 2011
Origine : E.U.
Genre : Action
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FILMS
7 mai 2011
6
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20:05
Un surveillant complétement taré
qui travaille dans un lycée décide de coacher une équipe de tennismen pour les mener à un championnat dans le Nebraska.
Une comédie bien sympatique sur l'univers du tennis. Si seulement le film s'y intéressait un peu. l'histoire ne tourne qu'autour du coach Gary mais ne s'attarde pas
assez sur le tennis et les jeunes qu'il entraîne.
Et ne vous fiez pas à l'affiche, ce n'est pas porté sur le sexe.
Au moins on rigole bien tout de même.
Rien d'autre à ajouter.
Réalisation : Danny Leiner
Durée : 1h 27
Année : 2009
Origine : E.U.
Genre : Comédie
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FILMS
7 mai 2011
6
07
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/2011
19:57
Georges est un mari volage qui a de plus en plus de mal à cacher sa double vie à sa femme. Quand Maurice débarque chez lui, il va décider de l'utiliser pour récupérer sa femme et éviter la
confrontation entre celle-ci et sa maîtresse.
Un pur navet dans la plus pure tradition des films français ! L'histoire vire au ridicule le plus complet, les personnages sont creux et le fils conducteur inexistant. On s'ennuie ferme pendant
plus d'une heure et demi. Heureusement que Laspalès est là pour sauver le peu de meubles que l'on puisse sauver. Le film entier tient sur ses interprétations, ses dialogues cultes (beware !!!) et
ses grimaces inimitables. D'ailleurs le film vaut le coup d'oeil pour cette seule raison ! Merci monsieur Laspalès !
Réalisation : Jean-Marie Poiré
Durée : 1h 42
Année : 2002
Origine : France
Genre : Comédie
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FILMS
5 mai 2011
4
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14:58
Le monde entier sait que l’inventeur milliardaire Tony
Stark et le super-héros Iron Man ne font qu’un. Malgré la pression du gouvernement, de la presse et du public pour qu’il partage sa technologie avec l’armée, Tony n’est pas disposé à divulguer
les secrets de son armure, redoutant que l’information atterrisse dans de mauvaises mains. Avec Pepper Potts et James «Rhodey» Rhodes à ses côtés, Tony va forger de nouvelles alliances et
affronter de nouvelles forces toutes-puissantes...
Soyons franc, pour ma part, ce deuxième volet du milliardaire en armure de métal est bien mieux réussi que le premier; peut-être parce que les bases ont déjà été posées. Mais le fait est là. Et
pourtant, il y a beaucoup de choses à lui reprocher. Le plus dur reproche qu'on puisse faire est que ce film n'est qu'un simple prétexte à faire le jour sur de nouveaux élémens alimentant le
projet Avenger. Et il semblerait que le studio ne s'en cache pas.
Du coup, le film se repose essentiellement sur ses effets spéciaux et ses acteurs. Downey Jr. toujours aussi impeccable, il incarne dans l'âme le personnage de Tony Stark. Et nouvelle surprise,
autre la disparition de Terrence Howard au générique (remplacé par Don Cheadle), l'apparition de Scarlett Johansson. La demoiselle fait une démonstration très "moulée" de tout son potentiel
"corporel". Et quelle
potentiel !! Ce qui nous offre un peu de corps à corps dans se film porté sur les jets de lumière et autres explosions.
En clair, ce qu'on retiendra de ce film, c'est surtout, hormis la plastique parfaite de Miss Johansson (je sais j'en remets une couche), l'affrontement pendant la course à Monaco avec un Mickey Rourke s'amusant comme un gamin et l'affrontement final avec tous les Droïdes.
Il serait très sympa, si ce n'est pas trop demander, qu'un jour on puisse assister à un opus d'Iron Man réalisé que pour
Iron Man et non pour la promotion d'un autre projet Marvel. Merci ! (on a le droit de rêver, non ?)
Réalisation : Jon Favreau
Durée : 1h 57
Année : 2010
Origine : E.U.
Genre : Science-fiction
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FILMS
4 mai 2011
3
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/2011
14:35
Au royaume d’Asgard, Thor est un guerrier aussi puissant
qu’arrogant dont les actes téméraires déclenchent une guerre ancestrale. Banni et envoyé sur Terre, par son père Odin, il est condamné à vivre parmi les humains. Mais lorsque les forces du mal de
son royaume s’apprêtent à se déchaîner sur la Terre, Thor va apprendre à se comporter en véritable héros…
Aux premières bandes annonces, on était en droit de se poser des questions sur la qualité de ce nouveau Marvel; surtout qu'on nous les vend à la pelle. De plus, projection cinématographique en
3-D obligatoire (ça, c'est vraiment chiant !! MERCI GAUMONT !!).
Pour en revenir à l'essentiel, le film, j'ai largement changé d'avis pendant ce métrage aux images exceptionnelles. Et au final, malgré que le ciné ne possède pas de salle en IMAX, la qualité de
la 3-D était vraiment magnifique. Les profondeurs de champs, les combats, tous jouissent intelligemment de l'effet en relief sans de véritables facilités comme beaucoup nous en ont proposés
jusqu'ici.
Concernant l'histoire même, le scénario évite assez habilement l'histoire basique du super héros en alternant le passages entre les mondes. Le plus surprenant est véritablement le royaume
d'Asgard, à l'aspect très édenique. On aurait pu craindre aussi qu'en au rendu des costumes des personnages du Royaume. Mais le rendu est finalement très réaliste (ce qui ouvre des perspectives
énormes pour l'adaptation de la japanimation en live, Saint Seiya en tête). Quant à l'histoire, elle se construit simplement mais sûrement, annonçant un Avenger très attendu (en bien ou en mal).
Tout ce qu'on peut dire, c'est que Thor est une très belle surprise. On s'en prend plein les yeux, et le choix des acteurs est
très judicieux. Je pense que la réussite tient aussi au fait que cette fois, l'univers de ce comic se trouve ailleurs que dans les Etats-Unis, loin de la réalité, plus proche d'un imaginaire, a
contrario d'un certain Iron man.
Réalisation : Kenneth Branagh
Durée : 1h 54
Année : 2011
Origine : E.U.
Genre : Science-fiction
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FILMS
3 mai 2011
2
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/2011
19:47
Constantine est à la tête d'une
organisation des Nations-Unies, gérée par quatre pays régis par d'énormes corporations qui ont pillé les ressources naturelles de la Terre.
Pour certains, ce film sera une sacrée surprise; pour d'autres, il sera une grande déception.
Pour ma part, je suis très partagé. Soyons clair, ce Mutant Chronicles est plus proche d'un téléfilm, dans sa réalisation et
dans sa narration. Les SFX sont pas toujours au niveau de l'ambition qu'affiche le film. Pourtant, ils possèdent un intéressant aspect très proche des affiches de science-fiction des années
70-80. D'ailleurs, c'est tout le film qui respire la nostalgie de ces vieilles bandes cinématographiques. Le scénario regorge d'idées et de situations qui auraient mérité d'être
approfondies. Mais la réalisation manque réellement de panache et d'ambition. Je pense que le format choisi (à savoir un long métrage) n'était pas le mieux destinée à cette oeuvre. Le format de
la série aurait mieux sied aux vues des différentes étapes développées dans le scénario : la guerre, l'apparition des mutants, l'invasion, la chute des Hommes et la quête... Tous ces thèmes
sonnent comme des titres de chapitres que le films ne parvient pas à s'approprier.
En sommes, malgré ses mauvaises critiques, Mutant Chronicles reste une référence qui mériterait d'être adapté en série tant
son univers est passionnant et très graphique. Ce film reste une grande source d'inspiration (du moins, à mes yeux). A vous de voir !
Réalisation : Simon Hunter
Durée : 1h41
Année : 2008
Origine : E.U.
Genre :Science-fiction
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FILMS