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  • : Mes avis, mes coups de gueules et mes coups de coeur. En clair, je fais mon cinéma !!
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3 mars 2011 4 03 /03 /mars /2011 18:57

 

max_et_les_maximonstres-7.jpg  Max, un garçon sensible et exubérant qui se sent incompris chez lui, s'évade là où se trouvent les maximonstres. Il atterrit sur une île où il rencontre de mystérieuses et étranges créatures, aux émotions sauvages et aux actions imprévisibles. Les maximonstres attendent désespérément un leader pour les guider, et Max rêve d'un royaume sur lequel régner. Lorsque Max est couronné roi, il promet de créer un monde où chacun trouvera le bonheur. Max découvre vite toutefois que régner sur un royaume n'est pas chose aisée et que ses relations avec les autres sont plus compliquées qu'il ne l'imaginait au départ...

 

 

 

Un film très émotionnel tiré des romans éponymes de Maurice Sendak.

On assiste au voyage d'un enfant turbulant, qui a du mal à gérer ses pulsions, qui se sent délaissés dans un monde où il ne parvient pas à trouver sa place.

Le jeune Max Records est prodigieux de férocité et de véracité. Il émane de lui une telle violence refoulée, que dans son costume, il devient un véritable animal incontrôlable. Seul échappatoire pour lui, après avoir mordu sa mère lors d'une de ses crises, le personnage de Max navigue vers une île étrange où un monstre ravage les habitations de ses compagnons incrédules. Le jeune garçon va devenir alors le roi de ce drôle de royaume. Dans un désir de réunir tous les maximonstres afin qu'ils vivent en paix et harmonie, Max va les aider à construire un château fort. Entre peine et jeux puérils, mais pour le moins violents, Max va se sentir aimé. Mais en même temps, il va découvrir la solitude de ces Maximonstres et de la difficulté qu'ils ont à vivre ensemble de part leur caractère propre; surtout en ce qui concerne Carol. Il est par définition l'image même de Max : incontrôlable, incompris, torturé et violent. Chaque Maximonstre possède un caractéristique propre au jeune garçon, renvoyant à ses propres sentiments.

Ce voyage dans son monde intérieur, car cet île aux monstres, n'est rien d'autre que cela, Max va grandir et prendre conscience de ce qu'il est ait pour les autres, et de ce qu'il doit changer pour ce faire aimer et aimer en retour.

 

Titre Original : Where the Wild Things are

Réalisation   : Spike Jonze

Durée             :  1h42

Année            : 2009

Origine           : E.U.

Genre             : Fantastique, Aventures, Drame

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2 mars 2011 3 02 /03 /mars /2011 18:43

CODY-BANKS-AGENT-SECRET-2---DESTINATION-LONDRES.jpg  Cette nouvelle aventure du jeune Cody Banks nous entraîne à Londres sur les traces d'un agent de la CIA - le propre instructeur de Cody Banks - qui vient de dérober au gouvernement américain un mécanisme ultra secret destiné à contrôler les esprits. La sécurité du monde est en jeu. Cody va devoir s'infiltrer dans un pensionnat très chic où l'on apprend la musique afin de récupérer au plus vite ce mécanisme. Il va devoir cacher son identité réelle aux autres pensionnaires en se faisant passer pour un joueur de clarinette. Dans cette mission, la CIA lui adjoint Derek, un agent qui essaie désespérément de rentrer dans les bonnes grâces de l'Agence. Celui-ci est censé être le cuisinier de l'école, mais le problème est qu'il ne sait absolument pas faire la cuisine. Alors que tout se complique, le duo va trouver une aide inattendue en la personne d'une jeune étudiante britannique nommée Emily.

 

 

 

Suite du premier opus du même nom : Cody Banks agent secret, ce deuxième volet nous renvoie avec Frankie Muniz sur une nouvelle mission. Malheureusement, le film garde le même ton que le premier mais la sauce ne prend. Frankie est moins marrant. Anthony Anderson, le black de service, ne relève en rien le niveau et on préférera Hilary Duff à Hannah Spearritt.

Quant à l'histoire, rien de très original qui vaille le coup d'être souligné. Bien plus ennuyeux, à mon humble avis, ce deuxième volet n'aurait pas dû voir le jour car on y perd la candeur du premier Cody Banks. Décevant.

 

Réalisation : Kevin Allen

Durée         : 1h 40

Année        : 2003

Origine       : E.U.

Genre         : Comédie d'espionnage

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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 18:29

 

Transylmania.jpg  Un groupe d’étudiants américains intègre pour un semestre l’université Razvan, en réalité un château délabré perdu au fin fond de la Transylvanie. Pas le meilleur endroit pour devenir membre de l’élite mais idéal en revanche pour rencontrer une charmante professeur cintrée de latex noir, un doyen haut comme trois pommes pourries, des vampirettes sexy cachées dans les coins sombres ou bien pour apprendre des choses aussi utiles que la manipulation du crucifix…

 

 

 

 

Encore une comédie déjantée sur les lycéens américains; mais cette fois, on évite le énième American pie (Je sais, c'est ma référence "comédie Teenager pourrie") pour plonger dans un univers fantastique pleins de vampires et "Monsters Freaks".

Quelques passages biens hilarants (la giclée de sang lorsqu'un des personnages retire une fléchette de sa jambe), des bombasses, une tête coupée qui parle, un dirlo nain  et des moments très lourds (les scènes avec les vampires).

Le problème de cette comédie qui ne se prend pas au sérieux, réside dans l'articulation entre le côté teenager et celui fantastique. Parfois les raccords sont tellement mauvais que l'on a l'impression de regarder deux films différents.

 

 

Réalisation : David Hillenbrand, Scott Hillenbrand

Durée         : 1h 28

Année        : 2009

Origine       : E.U.

Genre         : Comédie Fantastique

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28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 13:43

 

Legion-X.jpg  La naissance d'une personne est influencé par le temps, le lieu, et par les champs magnétique de la terre. A cause de ces facteurs, il existe des personnes qui peuvent entrer en résonnance avec leur pouvoir magnétique. On les appelle "la Confrérie de Legio".Depuis toujours ils jouent un rôle important dans l'histoire. En 2006, les élus ce sont discrètement implanté à Taiwan à la recherche de sang frais...
Une rebelle sans pitié, Xiao Lan, qui a tué toute sa famille juste pour une liaison par internet. Ah Jian, un homme au sang chaud et paraplégique. Zhong Dao, hanté par la mort violente de sa plus jeune soeur. Ren Fang, un professeur assistant passionné et énergique qui vit avec une maladie en phase terminale. Et enfin la belle présentatrice du journal télévisé, Ya Zhu.
Ils étaient tous des gens ordinaire vivant à Taipei, jusqu'à l'apparition de la Confrérie de Legio. Le groupe est donc forcé d'entreprendre leur test d'initiation. Commence alors un combat entre le bien et le mal qui changera irréversiblement leur vie....

 

 

 

Un pitch plein de promesse, mais qui très vite perd de son intérêt. L'histoire est très mal ficelée. On s'y perd un peu par moment. Les personnages n'ont rien d'attachants tellement ils manquent de charismes. Et surtout, la réalisation manque réellement de panache et les SFX sont parfois très limites.

Avec un côté manga très prononcé dans les scènes d'actions, on était en droit d'attendre un film assez speed, avec de nombreux rebondissements. Malheureusement, le tout donne quelque chose d'assez inégale où la faiblesse fait légion. Le résultat ne donne même pas un bon film de série B.

 

 

Réalisation : Shao Li-shiou

Durée           : 1h 26

Année           : 2007

Origine         : Taiwan

Genre            : Fantastique

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26 février 2011 6 26 /02 /février /2011 12:02

RTT

 

RTT.jpg   Arthur a posé depuis deux mois déjà ses RTT. Ces jours de congés vont vite prendre une tournure auquelle il ne s'attendait pas, alors que sa compagne le quitte et lui annonce qu'elle va se marier dans quelques jours à Miami. Et manque de pot, alors que le malheureux s'envole aux Etats-Unis pour empêcher la cérémonie, une voleuse de haut vol décide de cacher le tableau qu'elle vient de subtiliser dans un musée parisien... dans sa valise. Et elle ne va plus le lâcher, malheureusement pour Arthur. Si l'on ajoute à cela un inspecteur tenace, un couple de (faux) gay policier, on aboutit à un road-movie bien mouvementé !

 

Encore un film français ennuyeux à souhait !

A cause du succès de Bienvenue chez ch'tis !, Kad Merad a la cote après des cinéastes français. Mais jouer sur ce succès est un peu facile. Car il est le point faible de ce film.

En effet, le film, malgré son maigre scénario, aurait pu être une aventure policière divertissante, s'il n'avait pas été parasité par l'histoire d'amour et le mauvais jeu d'acteur de Monsieur Merad.

Même Manu Payet paraît plus crédible sauf lorsqu'il se retrouve à parler avec sa femme de son future accouchement. C'est la "French touch" ! celle que l'on retrouve dans les téléfilms français et qui fait le bonheur des ménagères.

Le problème en France, c'est que les acteurs ne savent pas jouer des rôles. Ils transforment leur personnage pour imposer leur image people. C'est le cas pour Danny Boon, Ely Semoun, Franc Dubosc... A croire que la majorité des acteurs populaires d'aujourd'hui viennent du  One Man Show.

Du coup, on finit avec des films désastreux comme les "Astérix...".

 

Réalisation : Frédéric Berthe

Durée         :  1h 35

Année        : 2009

Origine        : France

Genre         : Aventures

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25 février 2011 5 25 /02 /février /2011 08:18

 

house01.jpg    Un couple tombe en panne dans le désert. Il trouvent refuge dans un motel étrange appelé The Wayside Inn. Ils vont bien vite s'apercevoir qu'ils ne sont pas réellement en sécurité...

 


 

Quand on veut toucher à tous les genres horrifiques en un seul film, ça donne ça : House. Mais trop en mettre n'est pas toujours une bonne chose. Et malheureusement, là c'est le cas.

Comme un classique de film d'horreur, un jeune couple tombe en panne (un piège à touriste) et se réfugie dans le gîte d'à côté (comme c'est étrange). Bizarrement, pas de propriétaire, juste un autre couple, lui aussi tombé en panne. A la vue du titre, on se dit "maison hantée". Raté ! Parce que maintenant, il y a des proprios, dégénérés genre The Devil's rejects, Massacre à la tronçonneuse...

Le ton change d'un coup ! Un tueur apparaît à la porte et réclame un mort avant le lever du soleil (à bon ! Le soleil s'est couché ?) _ Symboles sataniques sur les murs, proprios possédés par une fumée noires, le passé qui hante les victimes et une petit fille morte sortie tout droit de Silent Hill et qui vient sauver tout le monde. Un final à la Dragon Ball (n'importe quoi ! Là !)avec boule de lumière. Tout ça pour comprendre que le film virait à la Reeker. Car les couples étaient entre la vie et la mort.

Ca part dans tous les sens, on y comprend plus rien. La tension est à zéro, même pas un petit sursaut et  les acteurs sont limites. Il n'y a que la photo du film qui sort vraiment du lot : froide, contrastée, angoissante et malsaine.

Vraiment, à fuir extrêmement vite !!

 

 

Réalisation : Robby Henson

Durée           : 1h 41

Année           : 2008

Origine         : E.U.

Genre           : Horreur

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23 février 2011 3 23 /02 /février /2011 09:04

PosterBadLieutenantCage.jpg   Terence McDonagh est inspecteur dans la police criminelle de la Nouvelle-Orléans. En sauvant un détenu de la noyade pendant l'ouragan Katrina, il s'est blessé au dos. Désormais, pour ne pas trop souffrir, il prend des médicaments puissants, souvent, trop souvent... Déterminé à faire son travail du mieux qu'il peut, il doit faire face à une criminalité qui envahit toutes les vies, même la sienne. Sa compagne, dont il est éperdument amoureux, est une prostituée. Pour la protéger, Terence est obligé de prendre des risques. Parce qu'il est sur les traces d'un gros dealer, sa vie est en jeu. Parce qu'il doit enquêter sur l'assassinat d'une famille d'immigrants africains, il doit mener une enquête impossible. En quelques heures, tous les enjeux de sa carrière et de sa vie vont se combiner pour devenir sa pire épreuve. S'il s'en sort, Terence saura enfin qui il est vraiment...

 

 

Quel navet ! Et encore le mot est faible.  Le rythme est lent, l'histoire molle et rapidement ennuyeuse. Le scénario n'a aucun intérêt sinon de constater la déchéance des personnages. Et malgré un casting de choix, on se croirait dans un tournage sous drogues, ou avec des acteurs handicapés. Nicolas Cage nous offre une de ses plus mauvaises interprétations, plus proche d'un quasimodo débiloïde que d'un junkie. Quant à Eva Mendès, pendant tout le film elle est à côté du rôle. Tout semble surjoué, l'atmosphère est malsaine car la sauce ne prend pas une seule seconde. Même la réalisation de Werner Herzog prend des allures hallucinogènes lorsqu'il filme les iguanes ou autres reptiles. On nage en plein délire. Il devient alors très difficile de tenir les 2h 00 que dure le film. Au final, nous aussi on plonge dans un cauchemar tellement le résultat est navrant.

A fuir complètement !

 

Titre Original : The bad Lieutenant : Port of call New orleans

Réalisation    : Werner Herzog

Durée              : 2h 02

Année              : 2010

Origine            : E.U.

Genre              : Polar

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22 février 2011 2 22 /02 /février /2011 16:29

 

my-name-is-Bruce.jpg   Confondu avec son personnage de la saga horrifique "Evil Dead", le comédien Bruce Campbell est enlevé par les habitants d'un petit village pour affronter un véritable monstre...

 

Du grand n'importe quoi. Le film tire vers le plus haut sommet du ridicule. Et malgré l'auto-dérision de Mr Campbell, l'acteur est très loin de sa performance sur Evil dead qui virait vers la comédie cartoonesque.

Et il est vrai que My name is Bruce tend à rendre hommage, en même temps qu'il parodie les Z horrifiques de ces dernières décennies. Mais malheureusement, il ne vaut pas mieux que certains de ces Z.

Les blagues deviennent de plus en plus lourdes au fur et à mesure que le film avance. Avec un répétition lorsque Bruce se retrouve dans le village attaqué par un mauvais esprit. Par ailleurs, le seul point positif de ce film est cet esprit chinois à l'aspect samouraï très Sentaï, mais diaboliquement crédible.

Il semblerait que Monsieur Campbell se soit vraiment essoufflé, ou bien y-a-til quelqu'un encore capable de lui écrire un rôle qui lui irait à ravir ?! Peut-être encore Monsieur Raimi, son ami de toujours ?

 

Réalisation : Bruce Campbell

Durée           : 1h 26

Année           :  2007

Origine         : E.U.

Genre            : Comédie, Horreur

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17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 19:30

 

Tron-Legacy-Poster-IMAX-3D.jpg

 

Alan Bradley reçoit sur son beeper un message de Kevin Flynn, vingt ans après sa disparition. Sam Flynn décide de partir à la recherche de son père et découvre une pièce cachée dans une ancienne salle d’arcade.

 

 

Plus prétexte  à utiliser les nouvelles technolgies, et plus particulièrement la 3-D, qu'à une simple volonté d'engendrer une suite, Tron Legacy reste une agréable surprise visuelle.

L'histoire, contrairement  au premier, s'est beaucoup simplifiée. Le pitch reste très simple et accessible à tous, Disney oblige. L'introduction nous présente l'enfance de Sam (rappelons qu'il n'existait pas dans le premier), avant que son père ne disparaisse de la surface de la Terre. Puis nous voilà dans le présent, avec un Sam adulte, très marginal, ne voulant pas de ses obligations de dirigeants d'Encom. Et comme dans tous les Disney, l'aventure qui va suivre va le mener à prendre en main sa vie et son devoir. Son voyage dans le virtuel va l'aider à devenir un Homme.

 

tron-legacy2d.jpgC'est lors du transfert de son corps vers le virtuel que Disney a eu l'intelligence de débuter l'effet 3-D. Il s'agit là d'un choix très judicieux et servant avant tout un univers qui se veut numérique. Cette réalité virtuelle est très éloignée de celle de 1982. Grâce au numérique, la vision de ce monde prend une tout autre dimension : celle d'un monde parallèle plongé dans le noir. Magnifique monochrome qui sublime l'ensemble du film, la lumière venant des circuits imprimés qui designent les costumes et les structures architecturales, aussi mis en avant par la 3-D. Les tenues prennent des allures de combinaisons spatiales qui sied parfaitement à l'univers développés dans le film, surtout lors de la fameuse scène de motos. Le décalage est énorme entre le  Tron de 1982 et celui 2011. Fini les virages à 90°, la course se passe dans toutes les directions à la fois. Tout simplement jouissif ! Idem pour les affrontements aux disques, très proches des combats ralentis de Matrix. Autre point commun avec les films des frères Wachowski, la scène de la boîte de nuit avec le personnage de Castor qui n'est pas sans rappeler le personnage du Français dans Matrix Reload. D'ailleurs, lors de cette séquence on note la présence des Daft Punk à qui le film doit beaucoup. En effet, leur score est tout simplement exceptionnel ! Le film tire toute sa puissance de son visuel dont les scènes sont amplifiées par la musique des Daft Punk, électro et épique, avec une touche Carpenter. Ces deux éléments associés font la force du film, surmontant la faiblesse d'un scénario passe-partout, et un jeu d'acteurs un peu froid émotionnellement, et ce malgré un casting féminin très réjouissant.Olivia-Wilde-Banner-US-Tron-Legacy.jpg

 

Au final, un film a voir absolument pour ce qu'il est. Une 3-D efficace, mais malheureusement, mon ciné ne projette le film qu'en Real 3-D (pas d'Imax, ni Disney 3-D), ce qui a gâché certaines scènes. Un monde visuel alléchant et enthousiasment, sur une musique des plus réussies avec un final puissamment renversant !

Le film a tout pour devenir aussi culte que son aîné.

 

 

Titre Original : Tron Legacy

Réalisation   : Joseph Kosinski

Studio             : Disney

Durée             :  2h 07

Année             : 2010

Origine            : E.U.

Genre              : Science-Fiction

Effet                 : IMAX 3-D

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16 février 2011 3 16 /02 /février /2011 19:25

 

Tron-1982.jpgKevin Flynn est un programmeur de génie, mais ses programmes ont été pillés par un de ses collègues, Ed Dillinger, qui en tire le bénéfice et réussit à le faire licencier. Kevin tente alors de pénétrer dans le système informatique à la recherche de preuves à l'aide de son programme CLU. Mais le système est passé sous le contrôle d'un des programmes d'Ed, le Maître contrôle principal ou MCP (Master Control Program en version originale), un ancien programme d'échecs qui a évolué.

 

Disney, en proposant Tron, offre le premier film  qui utilise le procédé d'images de synthèse. Et le résultat pour l'époque est très étonnant. Mais malgré les efforts visuels mis en place par Disney, le scénario ne suit pas trop. L'histoire est très loin d'être claire dans sa présentation alors que le pitch est on ne peut plus simple. Il en ressort donc un objet cinématographique très atypique (du moins pour l'époque) et novateur.

Quant on y regarde aujourd'hui, Tron a quelque chose de vraiment singulier et nostalgique. La synthèse fait penser à un dessin d'animation, ainsi qu'aux premières consoles de jeux et les incrustations des personnages sur les images de synthèse assombrissent les corps, affaiblissant le design des costumes, ainsi que les couleurs luminescentes.

Au final, l'idée était alléchante. Et à l'heure d'aujourd'hui, Tron est devenu un objet culte de par sa particularité.

 

Réalisation : Steven Lisberger

Durée           : 1h 36

Année           : 1982

Origine          : E.U.

Studio            : Disney

Genre            : Science-fiction

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