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  • : Mes avis, mes coups de gueules et mes coups de coeur. En clair, je fais mon cinéma !!
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31 août 2014 7 31 /08 /août /2014 18:16

Résumé

Ted se remémore ses jeunes années, lorsqu'il était encore célibataire. Il raconte à ses enfants avec nostalgie ses moments d'égarements et de troubles, ses rencontres et ses recherches effrénées du Grand Amour et les facéties de sa bande d'amis...

 

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Avis

How i met your mother ? se pose en digne successeur  de la série Friends, reprenant les mêmes codes humoristiques avec cette fois une tendance allant plus vers le thème du mariage.

 

La série « How i met your mother ? »  compte neuf saisons comprenant 208 épisodes au total. Cette série reprend les caractéristiques qui ont fait de Friends la série à succès qu’elle est devenue, c’est-à-dire le groupe d’amis trentenaires qui a l’habitude de se retrouver dans un lieu public pour débattre de leur vie. Celle-ci raconte plus précisément la vie du personnage de Ted, joué par  l’acteur  Josh Radnor, personnage qui s’obstine à trouver celle qui deviendra sa future femme. La série est fortement (trop fortement) focalisée sur le mariage au point d’en devenir une obsession. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle le personnage de Ted perd vite de son charme ; il finit rapidement par tourner en rond. Heureusement, d’autres personnages sont là pour alimenter la folie humoristique qui s’empare de la série saison après saison. Nous avons le couple, déjà formé lors du premier épisode, de Marshall (Jason Segel) et Lily (Alyson Hanningan, délirante). Ces deux personnages sont à la fois la stabilité de tous les autres personnages, mais en même temps ils sont aussi leur point de folie. En clair, ils assurent une sorte de stabilité dans le groupe, un modèle de perfection amoureux. Mais cela ne les empêche pas de partir dans des délires abracadabrants. Concernant les deux autres personnages, ce sont finalement eux qui vont devenir le point central de l’histoire après la saison 4, celle où Ted se retrouve seul devant l’autel. En effet, Robin est, et ça depuis le premier épisode, l’obsession de Ted. Il est persuadé qu’elle est celle qu’il doit épouser. Robin quant à elle est assez ambigüe sur ses sentiments pour Ted au point de ne plus trop savoir ce qu’elle veut vraiment. Quant au dernier personnage, Barney, il est celui sur qui finalement toute la série repose. Avec son expression « Hallu-cinant » (Legendary en V.O.), le personnage joué par l’excellent Neil Patrick Harris mène le show, détrônant le personnage principal, Ted, grâce à son humour délirant et extravagant. Toujours à la recherche de nouveaux défis, il passe quasiment tout son temps à draguer des filles dans le MC Laren’s (jamais vu autant de canons dans un même bar), le pub où tout le petit groupe boit des verres. C’est d’ailleurs à lui que l’on doit les meilleurs épisodes de la série, avec en tête celui du « Livre des rôles » (le playbook), tout simplement halluuuuuuucinant ! Et c’est aussi sa relation avec Robin qui va relever le niveau de la série qui commençait à tourner en rond durant les saisons 5 et 6. Leur histoire prenant tellement le pas sur celle de Ted, cela va créer une polémique sérieuse quant à la conclusion de l’ultime saison. La production, afin de calmer les fans mécontents, réalisera une fin alternative (que je n’ai malheureusement pas vue) pour remettre les choses en place. Pour ma part, je trouve la conclusion logique et de bonne qualité car après tout, cette série ne raconte pas vraiment ce qu’elle énonce en intitulé mais plutôt l’amour de Ted pour Robin tout au long de ces années. La dernière saison s’étire un peu trop à mon goût avec des épisodes plutôt inégaux. Mais elle raconte aussi la rencontre de la mère, jouée par l’agréable Cristin Milioti, avec chacun des membres du groupe avant même qu’elle ne rencontre Ted. Et rien que pour ça, elle vaut le coup d’être regardée.

 

Dans son ensemble, How i met your mother ? est une excellente série pleine d’un humour débridé. Le petit groupe qui la compose  forme une agréable unité qui parvient à nous embarquer dans leurs folles histoires et c’est pour nous un véritable plaisir (je pense à l’épisode de l’homme tout nu). Malgré un essoufflement flagrant entre la 4ème et 7ème saison, l’ensemble des gags et l’attachement que l’on a pour ces personnages font qu’on ressent un pincement au cœur à l’achèvement de la série. Mais bon toutes les meilleures choses ont une fin.

 

 

Création : Carter Bays & Craig Thomas _ durée : 208 x 22 min _ Années :  2005 à 2014 _ E.U.

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26 novembre 2013 2 26 /11 /novembre /2013 18:28

Un évènement énorme attendu depuis la fin de la 7ème saison, le film anniversaire des 50 ans de Doctor Who : Le jour du Doctor !!

day of the doctor the 12 doctors by devilsadvocate92-d6md

C'était samedi 23 novembre et France 4 nous a offert une soirée incroyablement riche en "Doctor". On débute avec le dernier épisode de la saison 7 : Le nom du Doctor. Cet épisode sert en quelque sorte d'introduction au film anniversaire même si ce dernier n'est pas une suite. En fait on rencontre le tout premier Doctor, celui qui était encore sur Gallifrey le dernier jour de la grande guerre du Temps (le War Doctor)js28788380-6300574_large.jpg. En quelques sorte, il annonce le sujet du film.

 

Puis on enchaîne avec le film proprement dit, suivi de La Prophétie de Noël et d'une animation : La quête de l'infini.

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Et enfin une compilation d'épisodes de la saison 6 pour ceux qui veillent très tard.

 

 

 

 

 

 

Une soirée évènement que France 4 a parfaitement su mettre en valeur. Mêmes'il aurait été sympathqiue de voir des épisodes ou reportages sur les Doctor Who d'avant 2005. Je pense que cette aspect de la série était tout à fait d'actualité. Au diable les regrets cette soirée était un délice !!

 

Yowzat !!!!!!!!!!

 

Maintenant, parlons du film anniversaire, car, après tout, c'est surtout lui le grand évènement de la soirée !

Le jour du Doctor :


En 2013, quelque chose de terrible se réveille dans le London's National Gallery, en 1562, un complot meurtrier est en mouvement dans l'Angleterre Elizabethenne, et quelque part dans l'espace, une ancienne bataille atteint sa conclusion dévastatrice. Toute la réalité est jalonnée par le dangereux passé du Doctor revenu pour le hanter. 

 

Steven Moffat nous délivre là un "épisode" ched d'oeuvre qui ingénieusement parvient à mêler le passé, le présent et le futur du Doctor, tout en ranimant visuellement tous les doctors depuis la guerre du Temps.

Le film est plein de rebondissements. On est aussi malmené que le TARDIS lorsqu'il se trouve dans le vortex temporelle. Mais quel plaisir !! On y retrouve en guest star Billie Piper et David Tennant. D'ailleurs, la rencontre du Dixième et du Onzième Doctor est déjà culte.

Mais commençons par le début.

 

clara_oswald___50th_anniversary_doctor_who_poster_by_feel_i.pngNous retrouvons avec plaisir la fille impossible, Clara Oswald, jouée par la sublime et magnifique Jenna-louise Coleman. Mais surtout, Steven Moffat nous offre une véritable performance, au sens artistique du terme, en faisant se balader le TARDIS, en hélicoptère, au-dessus de Londres. Une entrée  en matière magistrale avant de nous balancer le sujet du film en pleine face via une peinture en 3D de la guerre du Temps. S'en suit un grandiose flash-back sur Gallifrey pendant la dernière attaque Daleks. Une flotte monstreuse entoure la planète qu'elle allume de rayons lasers. Une véritable scène d'anthologie digne d'un Star Wars III. C'est à ce moment que l'on voit pour la première fois dans film le "War Doctor", formidablement joué par John Hurt. Il sculpte, à l'aide d'une arme, dans la pierre le titre de la peinture "No More", avant de fuir à bord du Tardis. On apprend alors qu'il a volé aussi "Le Moment", une arme de destruction d'univers ayant une conscience. Il a déjà été question de cette arme dans La prophétie de Noël (The End of Time) de Russell T. Davies. On voit le President sur Gallifrey annoncer que "Le Moment" venait d'être uttilisé. En effet, Steven Moffat a affirmé s'être inspiré de ces épisodes pour construire son film qui au final nous raconte le moment de la disparition de Gallifrey, et comment le Doctor y a contribué. 

Le War Doctor part s'isoler dans une cabane sur une planète désertique, cabane resseblant étrangement à l'intérieur du Tardis, avec ses colonnes arquées. Il va se confronter à la conscience de l'arme "Le moment" ainsi qu'à sa propre cosncience. Afin de ne pas toucher à l'histoire de Rose Tyler telle que la terminé Russell T. Davies, mais pour faire néanmoins participer celle qui a contribué à redonner de l'élan à la série, je parle de Billie Piper bien sûr, Steven Moffat a intelligement fait prendre,  à cette fameuse conscience, l'apparence du "Bad Wolf". Elle va servir de guide au War Doctor afin qu'il prenne la décision la plus juste en ce qui concerne la destinée de Gallifrey. Et c'est aussi elle qui va permettre aux trois Doctors de se rencontrer outre-passant les instants fixes du temps. rose_tyler___50th_anniversary_doctor_who_poster_by_feel_ins.png

 

On assiste alors à la rencontre culte entre le dixième et onzième Doctor, les grandes incarnations du personnages depuis la relance de la série en 2005 joués par, respectivement, David Tennant et Matt Smith.C' est l'une des raisons qui font de ce film un grand évènement.

On retrouve donc le Dixième Doctor en Angleterre en 1562  à fleurter avec Elizabeth 1ère. Un aspect très développé par Russell T. Davies qui aimait raconter des histoires durant l'Histoire de la Grande-Bretagne. Et comme toujours, il se retrouve dans des situations comiques et rocambolesques. Il se retrouve poursuivit par un Zygon, marié à la Reine Elisabeth et face à son futur lui.

Quel grand plaisir que de voir ces deux Doctors se confronter verbalement, s'admirer et se critiquer. Une scène complètement débordante d'humour, où les Doctors confrontent la taille de leur tournevis sonique, ou se réjouissent des lunettes de chacun. Et idem lorsque le War Doctor rencontre ses lui-futurs, leur faisant des remontrances comme un grand-père à ses petits enfants. Ces passages font les moments forts de ce films, assurant un des meilleurs aspects de la série, l'humour .

L'autre moment fort se trouve dans le tour de force qu'a opéré Steven Moffat en trouvant le moyen de réunir tous les Doctors, et ce malgré les 50 années qui séparent le début de la série. En réutilisant intelligement des images d'archives, il parvient à créer l'illusion d'un rassemblement de treize Tardis avec les Treize Doctors. Et oui, on a aussi le droit à un caméo spécial du futur Doctor joué par Peter Capaldi et celui du quatrième Doctor, Tom Baker, en conservateur de musée.

Le film prend sa fin dans le sujet même de l'épisode de La Prophétie de Noël et il semble annoncer aussi la direction que devrait prendre la suite de la série, c'est-à-dire, retrouver Gallifrey.

 

doctor-who-50th-filming-3.jpg

Ce film est un véritable festival de surprises pour les fans. Le film est bourré de références textuelles ou visuelles à l'univers de la série. Et comme il l'aime le faire (c'est déjà le cas dans les saisons qu'il a à son actif), il sème des indices narratifs à tout va, enrichissant son sujet et la mythologie du Doctor, lui donnant une ampleur encore jamais atteinte.

 

En clair, ce film est un chef d'oeuvre de science-fiction.

 

GERONIMO !!!

 

 

Doctor-Who-50th_0.jpg

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11 mars 2011 5 11 /03 /mars /2011 19:31

 

doctor_who_matt_smith_saison_5_volume_1.jpg   Suite à sa dernière régénération, le Doctor endommage le Tardis qui s'écrase sur Terre, dans le jardin d'une jeune enfant nommé Amélya Pond.  L'enfant montre au Doctor une étrange fissure dans son mur. Il semblerait que l'espace temps se lézarde.

 

  Enfin la dernière saison en date du Doctor, Seigneur du temps, excentrique et son Tardis, petit à l'extérieur, mais vachement spacieux dedans. Et on dit merci qui ? Merci France 4 ! Pour cette diffusion en français.

Qui dit changement de producteur, dit changement total de cap de la série. On assiste à la résurrection des Daleks originels, mais l'esprit de la série est ailleurs. L'histoire se recentre sur le Doctor et sa place dans l'univers.

Cette "nouvelle version" de la série est plus sérieuse dans sa réalisation et dans ses histoires. On perçoit nettement des moyens conséquents surtout au niveau des SFX, qui dans les 4 premières saisons étaient parfois très légers. Mais la série ne perd en rien de son intérêt et de ses qualités. En effet, la disparition de David Tennant parvient à se faire oublier par le jeu de Matt Smith, excellent dans sa gestuelle, ses mimiques et son excentricité.  Karen Gillian est une excellente partenaire pour ce Doctor saison 05, basée au centre de l'intrigue, son rôle est capital. Et il semble qu'elle sera présente dans la saison 06 qui je l'espère sera aussi passionnante. Surtout lorsque l'on voit la dimension mystique et temporelle du double dernier épisode.

Doctor Who reste encore la plus grande série de science-fiction de tous les temps.

 

Origine : G.B.

Durée   : 13x 45 min

Année   : 2010

Genre    : Science-fiction

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18 janvier 2011 2 18 /01 /janvier /2011 19:59

 

californication-saison-03.jpg   Hank Moody est romancier new-yorkais exilé à Los Angeles, et séparé de Karen, la mère de sa fille de 12 ans. Il est aussi accro aux femmes, aux drogues et à l'alcool et ne peut s'empêcher de dire la vérité, tout le temps et à tout le monde. Hank est auto-destructeur, mais dans le fond il ne cherche qu'à récupérer Karen et à vivre une vie de famille tranquille...

Karen est retournée vivre à New York pour son travail, tandis que Hank est resté à Los Angelès avec sa fille. Par une malencontreuse opportunitée, il se retrouve à enseigner à la FAC en tant que prof de litterature. Et là, les ennuis reprennent du service.

Quant à Charlie, sa vie de couple est très loin de s'arranger. Et son nouveau boulot prend des allures très "harcèlement sexuel".

 

 

Et une troisième saison pour cette série très déjantée. Et d'ailleurs on repart de plus belle dans la décadence. En effet, on se sent plus proche de l'état d'esprit de la première que de la deuxième. Hank replonge dans le sexe de plus belle en se retrouvant attaché à trois charmantes personnes de l'autre sexe en même temps ce qui va créer un bel épisode pagailleux très hilarant. Autre élément fort de cette saison, la nymphomane de patronne de Charlie qui mouille à chaque nouveaux contrats et qui raffole de se taper le petit chauve.

Vraiment que du bon dans cette troisième saison qui se termine par LA grande révelation passant de la comédie au drame, voir au  tragique.

Un must, vivement la saison 4 !

 

Créateur : Tom Kapinos

Durée     : 12 x 30 min

Année    : 2009

Origine   : E.U.

Genre    : Comédie dramatique

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6 janvier 2011 4 06 /01 /janvier /2011 22:25

 

Fear-Itself-_-Le-cercle.jpgUn écrivain confronté au syndrome de la page blanche après un premier roman à succès passe le week-end d’Halloween avec quelques amis dans un chalet isolé. Soudain, deux gamines sonnent à la porte et leur donnent un étrange livre avant de disparaitre. Un des membres du groupe commence à lire le livre à haute voix, ce qui déclenche de terrifiants événements…

 

Un épisode qui regorge de bonnes idées et d'effets. Mais comme toujours, on tourne vite en rond. L'idée du format série limite vraiment le potentiel de certains épisodes.

Réalisation :  Eduardo Rodriguez

Durée           : 13x50 mn

Année           : 2008

Origine         : E.U.

Genre           : Horreur

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6 janvier 2011 4 06 /01 /janvier /2011 17:46

 

Fear-Itself-_-Reincarnation.jpg

Installé dans une nouvelle maison pour terminer sa thèse, un jeune homme voit sa vie perturbée par d’étranges visions liées au passé de la demeure. De plus en plus influencé par ces visions, il commence à perdre pied et reproduit les événements dramatiques s’étant déroulés 70 ans auparavant…

 

Un épisode vraiment trop téléphoné. L'histoire du début de siècle est vraiment très mal mise en rapport avec celle du présent.  Du coup on y croit pas du tout. Les personnalités ne sont pas assez approfondies pour que l'alchimie prenne.

Un des plus mauvais épisodes de Fear Itself.

 

Réalisation :  Rupert Wainwright

Durée           : 13x50 mn

Année           : 2008

Origine         : E.U.

Genre           : Horreur

 

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6 janvier 2011 4 06 /01 /janvier /2011 17:38

 

Fear-Itself-_-Spiritisme.jpg

 

Le soir d’Halloween, deux adolescentes décident de jouer à contacter les esprits avec une planche de oui-ja. L’expérience fonctionne beaucoup mieux que prévu puisqu’une de leur camarade de classe, décédée peu de temps auparavant (elle s’est apparemment suicidée), les supplie de trouver le vrai responsable de sa mort et de la venger…

 

 

On assiste à un épisode très (voir trop)  teenager pour être vraiment efficace. L'horreur aurait pu être bien plus fort et surtout les euls moment de suspense sont trop léger pour intéresser.

Vraiment un des plus faibles épisodes de cette série.

 

Réalisation :  Rob Schmidt

Durée           : 13x50 mn

Année           : 2008

Origine         : E.U.

Genre           : Horreur

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5 janvier 2011 3 05 /01 /janvier /2011 17:25

 

Fear-Itself-_-Double-chance.jpg    Contrairement à son prénom, Chance est un loser. Il se retrouve toujours dans des embrouilles pas possibles qui se terminent mal pour lui, surtout que c’est le plus gentil des gars. Mais cette fois, il est sur un gros coup. Il a racheté à bas prix un vase d’une valeur inestimable et pense en tirer un gros paquet de fric en le revendant à un antiquaire. De toute façon, il n’a pas le choix, il a placé tous ses espoirs et sa maigre fortune dans cette histoire…

 

Un épisode intéressant dans le sans où il déveoppe une double personnalité de son protagoniste.  Chance est en train d'assister à l'émergence d'un monstre psychopathe, et nous aussi. Mais comme la plus part des épisode de cette série, il y a un manque clair de liberté dans la réalisation. Et au final, il y a très peu à se mettre sous la dent. On tourne rapidement en rond.

 

 

Réalisation :  John Dahl

Durée           : 13x50 mn

Année           : 2008

Origine         : E.U.

Genre           : Horreur

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5 janvier 2011 3 05 /01 /janvier /2011 16:54

Fear-Itself-_-la-morsure.jpg  Wilbur Orwell, vétérinaire, se retrouve transformé en loup-garou après avoir été agressé par un gros animal qui s'était introduit dans sa clinique...

 

Un épisode placé sous le thème de la comédie. Le tout est assez bien mené et bien joué. on apprécie les mésaventures de ce vétérinaire qui se découvre une nouvelle vie.

Un épisode qui tire son épingle du lot.

 

Réalisation :  Ernest Dickerson

Durée           : 13x50 mn

Année           : 2008

Origine         : E.U.

Genre           : Horreur

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4 janvier 2011 2 04 /01 /janvier /2011 11:14

Fear-Itself-_-Le-ranch-maudit.JPG  L’action se déroule dans la province d’Alberta, au Canada. C’est dans cette région sauvage que le propriétaire d’un ranch qui vit avec sa femme, ses deux fils et son frère, se perd dans les montagnes lors d’une partie de chasse avec des amis. Après dix jours d’absence, il revient enfin. Amaigri, épuisé et affamé, il n’est plus tout à fait le même…

 

Voilà l'exemple même d'un épisode qui avait  tout pour être à la fois efficace et horrifique. Malheureusement, toute l'action, toute l'horreur et tout le gore sont hors champ. Du coup, on passe 50 minutes à contempler les acteurs hors de l'action, entendant seulement des cris et des bruits de chairs.

Un épisode, qui du même coup, devient complètement ridicule pour ne pas dire absurde tellement le visuel en devient vide, malgré un "possédée" au visage vraiment réussi et flippant. Un très grand dommage !

 

Réalisation : Larry Fessenden

Durée           : 13x50 mn

Année           : 2008

Origine         : E.U.

Genre           : Horreur

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