19 décembre 2014
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12:35
Résumé
Un jeune homme aux cheveux rouges du nom de Mars est trouvé sur une île volcanique qui vient de surgir au milieu de l'océan. Ramené au Japon, il est examiné par des médecins qui découvrent qu'il a perdu la mémoire. Cependant, Mars est hanté par des images de désolation qu'il ne parvient pas à chasser de son esprit. Est-il le sauveur de la Terre ou celui qui causera sa destruction ?
Avis
En voyant les images et le pitch de cet animé, je m’attendais à voir des combats entre des surhommes et leur machine. En clair, je voulais voir un animé très décomplexé, quitte à laisser un peu de côté le scénario. De temps en temps, un truc un peu brutal et sans matière grise, ça fait du bien. Malheureusement pour moi, il n’y avait ni l’un ni l’autre dans ce Mars the terminator (minable titrage français beurk !). Shinseikiden Mars de son vrai nom, est un animé très pauvre en matière d’animation. La qualité représente le minimum syndical, les scènes sont recyclées au possible et les combats sont inexistants. Les robots (corps divins) sont quasiment tous figés et ils ne font que se tirer des rayons et se cacher derrière des boucliers d’énergie. Et c’est très dommage car leur design est plutôt singulier. Bref. Quant aux différents personnages, ils ne servent à rien surtout Mars qui est un surhomme mais il ne se bat jamais. Soit il fuit, soit il est mourant, c’est comme je disais, il ne sert à rien. D’ailleurs, tout cet animé ne mène à rien. Le scénario nous pond un raisonnement un peu facile pour justifier tous ces combats et le désir de détruire la Terre. On y croit aussi peu que le combat final est intense.
En clair, ça ne vaut pas grand-chose et si vous ne l’avez jamais vu, vous ne ratez rien.
Auteur : Yokoyama Mitsuteru _ Durée : 13x25 min _ Année : 2002 _ Genre : SF _ Japon
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5 novembre 2014
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18:51
Résumé
En pleine mutation entre les ères Edo et Meiji, les Shinsengumi chasseuses de monstres vivent des temps durs. Pas facile de continuer à chasser le monstre entre les traditions d'hier et les innovations de demain ! Surtout quand nos trois chasseuses ont bien des difficultés à s'entendre...
Avis
Cette série de 4 OAVs est un four tout incroyable. L’histoire est bourrée d’anachronismes technologiques aberrants et malvenus (des voitures futuristes à l’ère Meiji). On suit trois personnages féminins armés de katana qui peuvent revêtir une armure sortie de Pizza Cats à la manière de Saint Seiya en tournoyant comme les guerrières de Sailor moon. Les personnages sont totalement communs et complètement hystériques. Et les épisodes se contentent de les faire affronter un esprit malfaisant (et pas toujours crédible) sorti d’un lieu sacré avant qu’elles ne détruisent (on ne sait jamais comment) la ville de Kyoto et qu’elles se fassent poursuivre par ses habitants (on retrouve ces mêmes gags à chaque OAV).
Une série, complètement inutile et sans intérêt, possède pourtant une qualité graphique très correcte.
Réalisation : Tonokatsu Hideki _ Durée : 4x25 min _ Genre : Action, Comédie, Fantastique _ Année : 2003 _ Japon
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28 octobre 2014
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09:53
Résumé
1941 : les forces nazies se sont alliées avec des envahisseurs aliens dont la technologie hyper-sophistiquée va donner un avantage considérable aux forces de l'Axe dans leur conquête du monde. Mais les résistants de l'organisation internationale Kishin Corps ont pu s'emparer de cette technologie à leur tour et lutte à l'aide de leurs propres mecha pour contrecarrer l'imminente invasion extraterrestre...
Avis
Kishin Heidan est une mini-série de 7 OAVs qui m’a totalement séduite pour différentes raisons.
Premièrement, j’ai été séduit par le design très particulier de Masayuki Goto qui donne à l’animé une dimension toute particulière. En effet, Kishin Heidan possède un aspect rétro des animés des années 80, début 90 que j’affectionne tout particulièrement.
Deuxièmement, le fait que l’histoire se situe en pleine seconde guerre mondiale donne à l’action une part de réalisme que l’on retrouve également dans les décors, les véhicules et les habits des personnages.
Troisièmement, cet animé possède une dimension fictionnelle propre aux animés japonais des années 80 (Goldorak, Mazinger Z) c’est-à-dire des robots de combats pilotés par des humains. Tout cela forme un ensemble parfaitement cohérent et jouissif immanquablement présent dans chaque OAV. Le seul point négatif à mon goût se trouve dans la présence inutile et le design des aliens qui, au final, n’apportent rien de bien intéressant à l’
histoire.
En clair, Kishin Heidan est une série que je recommande fortement pour tout fan de mangas du XXème siècle.
Réalisation : Takaaki Ishiyama _ Durée : 7x30 min _ Genre : SF _ Année : 1993 _ Japon
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18 septembre 2014
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10:44

Résumé
C'est l'histoire d'un garçon de 15 ans qui ne fait pas du tout son âge, nommé Ichimura Tetsunosuke, qui décide de devenir plus fort afin de venger ses parents. Ces derniers ont été assassinés par les extrémistes Chōchū, clan très puissant favorable à l'empereur. Il essaie alors de se faire enrôler au sein du Shinsen Gumi, puissant groupe de samouraïs surnommés « les Loups de Mibu ». L'apprentissage de Tetsu sera long et parsemé de complications puisqu'il entrera au Shinsen Gumi comme domestique.
Avis
Cette série utilise un contexte historique pour développer les sentiments de ses personnages à travers des petits moments de leur vie quotidienne. Parfois bouleversé par des actions sanglantes, le jeune TetsuKun se confronte à la violente réalité du monde des Mibus. Malheureusement, le ton trop léger de la série, avec de nombreux passages comiques (qui ne le sont pas toujours), nous fait perdre la trame scénaristique de vue. La série paraît, du même coup, assez lente et soporifique. Mais paradoxalement, on finit par s’attacher à tous ces personnages. Ce n’est pourtant pas suffisant pour en faire un anime de bonne facture surtout que la qualité d’animation est assez inégale d’un épisode à l’autre.
En clair, Peace Maker Kurogane traite du même thème que Kenshin le vagabond mais cette série est très loin d’égaler son aîné à tous les niveaux. Presque une perte de temps…
Auteur : Nanae Chrono _ Réalisateur : Tomohiro Hirata _ Studio : Gonzo _ Durée : 24x25 min _ Genre : Samouraï _ Année : 2003 _ Japon
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15 août 2014
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18:05
Résumé
Laine Barselt, le héros, dirige son vaisseau pour tenter de détruire une sorte de monstre qui infeste la couche supérieure mais son vaisseau est touché par le monstre et tombe droit vers la couche inférieure, où il s'écrase.
C'est alors que surgit Orica Mestomille, une "Ravateel" assez particulière dont le chant ne semble pas du tout au point, qui va tenter de soigner Laine.
Avis
Ar Tonelico est une OAV tirée d’un jeu RPG. Cet animé de 25 min dévoile un univers qui semble très riche. Mais la courte durée de l’épisode ne permet pas d’apprécier tout le potentiel que développe le jeu (ce qui est bien dommage). Concernant l’animation en elle-même, elle est d’assez bonne qualité. Son design est classique du style « manga » et les décors sont très sophistiqués et originaux.
En clair, une OAV alléchante qui nous laisse sur notre faim.
Réalisation : Ando Ken _ Format : OAV _ Durée: 25 min _ Genre : Aventures, Fantasy, SF _ Année : 2006_ Japon
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13 mai 2014
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14:10

Mirelle, Génie et Mélissa forment un trio d'aventurières de choc. L'une est une habile voleuse, la deuxième une formidable guerrière et la troisième une prêtresse particulièrement fervente et dévouée. Des dangers sans cesse plus redoutables guettant nos charmantes demoiselles à chaque aventure, elles souhaiteraient qu'une magicienne se joignent à elles pour leur prêter main forte.
Elle se mettent alors en quête d'une candidate potentielle, mais la seule personne qui soit prête à accepter leur proposition est un homme, qui de plus se révèle maladroit, bagarreur et pas particulièrement futé ! Suite à une révélation faite à Mélissa par son dieu, et faisant contre mauvaise fortune bon cœur, nos trois aventurières acceptent finalement Louie au sein de leur groupe sans se douter un seul instant des conséquences de cette décision...
Que dire de cette série animé ?
D'un point de vue visuel, l'animation est de très faible qualité. Le design des personnages est très loin d'être recherché. Il garde l'aspect classique des mangas de style médiévaux (grands yeux, longs cheveux...)sans touche très personnelle.
La série ne pause aucun fils conducteur. Chaque histoire se tient en un épisode et le sujet abordé ne vole jamais très haut. Le studio J.C. Staff a tout de même tenté de donner un sens à l'animé en créant un arc narratif (qui étrangement tient la route) sur les derniers épisodes. Malheureusement, l'univers propre à chaque personnage n'est jamais approfondi. Il en est de même pour l'histoire de la cité et des différentes académies qui la composent. C'est fort regréttable car le monde dans lequel "progressent" le groupe de Louie porte en lui un gros potentiel. Après tout, il s'agit d'un animé sur des chevaliers, magiciens et autres créatures mystiques. Le seul point fort de cet animé est son humour (très léger et puéril, il est vrai) qui ne tient qu'à un personnage, celui de Louie. On peut dire qu'il sauve la série à lui tout seul.
Malgré ses énormes défauts, je me suis surpris à suivre cet animé jusqu'au bout (sûrement parce je suis un grand enfant). Et pourtant, je l'ai très vite oublié.

Auteur : Mizuno Ryo _ Studio : J.C. Staff _ Titre original : Mahou senshi riui _ Durée : 24 éps 25 mins _ Année : 2001
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20 septembre 2011
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Le récit de Sword of the Stranger se déroule dans le Japon de l'ère "Sengoku", en
pleine période de guerres civiles.
Un rônin sans nom sauve un jeune orphelin, Kotarô, et son chien Tobimaru, lors d'un incendie. Pendant ce temps, une mystérieuse milice venue de Chine recherche Kotarô dans le but de l'utiliser
pour accomplir un rituel occulte procurant la vie éternelle. Parmi eux se trouve Luo-Lang, un bretteur émérite assoiffé de combats aux ordres du seigneur de guerre Bai-Luan.
Kotarô engage alors le rônin sans nom comme garde du corps en échange d'une pierre précieuse qu'un moine lui a donné, et ils décident de faire route ensemble.
A partir de cet instant, leurs destins vont être inexorablement liés. Débute alors une émouvante histoire d'amitié entre deux individus ayant connu de nombreuses tragédies dans leurs vies
personnelles : un samouraï sans maître et sans nom qui a juré de ne jamais retoucher à un sabre, et un jeune garçon qui a perdu ses parents.
Un récit comme seuls les japonnais savent le faire, mélange de combats sanglants, révélation d'une humanité perdue dans d'interminables guerres intestines, Sword of the Stranger oppose le pouvoir de deux grands empires à travers deux hommes maîtrisant l'art de tuer avec un sabre. Mais un des deux
est à la recherche du repenti. Chemin qu'il parviendra à trouver en portant secours à un jeune garçon poursuivi par les Ming dans le but d'être sacrifié.
Une histoire touchante, des personnages, somme très classiques, mais fortement attachants, le tout sur une animation de qualité, avec un scénario qui évite la facilité tout en conservant
l'atmosphère des mangas de samouraï (avec un fort respect pour le réalisme des décors).
Titre Original : Sutorejia: Mukô hadan
Réalisation : Masahiro Andô
Studio : Bones
Durée : 1h 42
Année : 2007
Origine : Japon
Genre : Samouraï

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12 août 2011
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New York, 2012. Une jeune femme tombe d'un immeuble, se brisant en morceaux comme de la pierre. Le syndrome de solidification
cellulaire, plus connu sous le nom de médusa, est rapidement considéré comme une pandémie par l'OMS. Son origine inconnue, son développement très rapide et son taux de mortalité de
100 % laissent présager le pire. Les gens commencent à paniquer, des émeutes éclatent un peu partout, les bourses s'effondrent et l'ONU déclare l'état d’urgence. La solution proposée par
Venus Gate Corp., un grand laboratoire, pour stopper le phénomène : la cryogénisation des patients atteints, en attendant de trouver un remède. Mais seules 160 capsules de cryogénisation
sont disponibles. Kasumi Ishiki, lycéenne, fait partie des patients. Lorsqu'elle se réveille, tout est dévasté et des siècles semblent s'être écoulés…
Un film futuriste se posant la question du réel et de l'imaginaire sur fond de conte pour enfants.
Clairement inspiré par le Resident Evil de Paul W.S. Anderson, Le roi
des ronces nous dévoile un univers pas toujours très clair qui prend son apogée lors d'un flash back, véritable révélation du film, sur la fin. Le reste se présente comme une ascension de
jeu vidéo basée sur plusieurs niveaux, présentant le chateau de la compagnie Gate Corp. à l'identique de la Ruche de Resident
Evil. Rien que le nom de l'IA marque clairement le lien : A.L.I.C.E.. L'animation est assez correcte, même si parfois elle est loin d'égaler les dernières oeuvres en date. Mais dans
l'ensemble le film reste divertissant et plutôt ingénieux, même si dans le genre "mise en parallèle avec un conte", elle n'égale en rien Jin Roh, puissance incommensurable de la narration et de l'animation japonaise.
Titre Original : Ibara no Ô
Réalisation : Kazuyoshi Katayama
Durée : 2h 00
Année : 2009
Origine : Japon
Genres : Science-fiction, Fantastique, Horreur, Drame, Aventures
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16 juin 2011
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23:09
Des monstres apparaissent sur la surface de la Terre sans que l’on ne puisse expliquer pourquoi. Si l’armée tente de les éliminer, il se
trouve que certains enfants arrivent à les contrôler. Tetsu fait partie de ces derniers et avait réussi à cacher aux yeux de la population un monstre qu’il a élevé et nommé Cenco jusqu’à ce que
Yuki, une camarade de classe, découvre la vérité.
Une animation très étrange et étirée sur seulement 30 minutes. Une oeuvre d'auteur pleine d'idées, autant scénaristiques, que graphiques et visuelles.
On se laisse très facilement, pour qui sait apprécier les travaux expérimentaux et intelligents, embarquer dans ce combat entre jeunes hommes devenus les instruments/pilotes de créatures rondes,
aux yeux globuleux et exorbités. Il ne faut ni chercher les origines ni les avenirs de cet univers. Simplement apprécier ce qui nous est offert. Car ce film l'est grandement.
L'animation est fluide. Le design très simple, presuque que proche de l'esquisse en ce qui concerne les personnages. Un score assez silencieux, plus proche du bruitage que de la musique.
En fait, le tout est plutôt intrigant et du coup très attractif. A nous d'imaginer ce que l'on veut à partir de cela, où alors de ce rencarder sur le manga dont est inspiré cet animé, manga de
Atsuya Uki, qui a presque entièrement réalisé ce film.
Studio : Aniplex
Auteur : Atsuya Uki
Durée : 30 min
Année : 2009
Origine : Japon
Genres : Science-fiction
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31 mai 2011
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Bienvenue dans le monde de OZ : la plateforme communautaire d'internet. En se connectant depuis un ordinateur, une télévision ou un téléphone, des millions d'avatars
alimentent le plus grand réseau social en ligne pour une nouvelle vie, hors des limites de la réalité.
Kenji, un lycéen timide et surdoué en mathématiques, effectue un job d'été au service de la maintenance d'OZ. A sa grande surprise, la jolie Natuski, la fille de ses rêves, lui propose de
l'accompagner à Nagano, sa ville natale. Il se retrouve alors embarqué pour la fête traditionnelle du clan Jinnouchi. Il comprend bientôt que Natsuki ne l'a invité que pour jouer le rôle du "
futur fiancé " et faire bonne figure vis-à-vis de sa vénérable grand mère. Au même moment, un virus attaque OZ, déclenchant catastrophe sur catastrophe au niveau planétaire.
Avec l'aide de Kenji, tout le clan Jinnouchi se lance alors dans une véritable croisade familiale pour sauver le monde virtuel et ses habitants...
Film d'animation made in Japan, comme beaucoup d'autres, est une pure merveille d'animation et d'histoire. Il nous plonge dans un récit mélangeant monde virtuel très futuriste et
moderne avec un coté social, très familial, traditionnel et culturel. Et le tout tient parfaitement la route. Car le film sait judicieusement passer d'un monde à l'autre pour nourrir son histoire
pleine de rebondissement.
Les personnages de la famille et les amis possèdent un fond et des caractéristiques qui les rendent uniques et indispensables au scénario. Quant à l'animation et au design, il est très
classique de la "japanimation" lorsqu'il s'agit de dépeindre la réalité. Mais on plonge dans un monde très fun, coloré et inventif lorsque l'on pénètre Oz, le monde de l'internet.
Une vision de fin du monde tout à fait innovente et inoubliable. Ce Summer Wars est tout simplement une pure réussite. A
voir ABSOLUMENT !!
Réalisation : Mamoru Hosoda
Durée : 1h 54
Année : 2009
Origine : Japon
Genre : Drame, Science-fiction
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