Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

  • : Mes avis, mes coups de gueules et mes coups de coeur. En clair, je fais mon cinéma !!
  • Contact

Recherche

Archives

Catégories

15 juillet 2011 5 15 /07 /juillet /2011 20:23

Bee-Movie.jpg Barry Bee Benson n'est pas une abeille ordinaire : tout juste diplomé, il se désole de n'avoir qu'une seule perspective d'avenir, Honex, la fabrique de miel... Lors de sa première sortie de la ruche, il brise une des lois les plus importantes des abeilles : parler à un être humain ! Il se rend alors compte que tout le miel des abeilles est volé par les hommes. Il entreprend donc de dénoncer l'exploitation de ses semblables, et d'intenter un procès à l'espèce humaine...

 

Un film d'animation fort divertissant, pour toute la famille, avec un beau message écologique en prime.

Un univers rare, celui des abeilles, est développé tel une gigantesque dictature démocratique et capitaliste. Sauf qu'ici, les abeilles ne cherche pas à gagner de l'argent pour consommer, mais elle consomme le miel que toutes oeuvrent à créer. Une belle image d'une utopie parfaite et auto-soumise qui se brise rapidement lorsque des réserves de miel récupérées aux mains des humains, qui scrupuleusement le créait à partir de champ de ruches. En effet, l'inactivité soudaine des abeilles a pour cause une rupture de l'équilibre biologique de la planète. Le pollen n'est plus redistribuer, du coup la végétation se meurt, affectant toutes les espèces à long terme. Une moralité sur le fragile équilibre de la planète, démontrant que le Tout est un rouage parfaitement huilé et que nous devons vraiment faire attention car une simple petite abeille tuée peu avoir des conséquences catastrophiques. Bien sûr, c'est une image qu'il faut prendre à l'échelle d'une espèce et non de l'individu seul.

Une très belle fable écologique, racontée avec humour et originalité via la rencontre d'une fleuriste et d'une abeille. Un grand moment à passer en famille.


Titre Original : Bee Movie

Réalisation   :  Simon J. Smith, Steve Hickner

Durée           : 1h 35

Année          : 2007

Origine         : E.U.

Genre          : Comédie

Partager cet article
Repost0
22 juin 2011 3 22 /06 /juin /2011 09:42

2005-chicken-10.jpgA Oakey Oaks, un village peuplé d'animaux, Chicken Little est un petit poulet dont la ténacité dépasse de loin sa taille minuscule. Il essaie désespérément de faire oublier à la population du village sa grande humiliation : il y a deux ans, un gland lui est tombé dessus et, persuadé qu'il s'agissait d'un morceau de ciel, Chicken Little a couru donner l'alerte dans toute la ville en hurlant "Le ciel s'écroule ! Le ciel s'écroule !" La panique s'est emparée des habitants et leur affolement a failli détruire le village, attirant l'attention des médias...
Quand tout le monde a réalisé qu'il ne s'agissait que d'un gland, Chicken Little est devenu la risée de toute la ville.
Pourtant, un jour, le jeune poulet reçoit effectivement un vrai morceau de ciel sur la tête. Mais cette fois, qui le croira ? Avec sa petite taille, pourra t-il sauver sa ville toute entière ?

 

 

Comme toujours, il y a des Disney beaucoup moins commerciaux que d'autres (Cars est l'exemple type du produit commercial). Et dans ces moins commerciaux, il est vrai que certains films sont très moyens comme Volt, mais d'autres sont carrément géniaux comme Wall-E. Ils n'ont simplement pas la reconnaissance du public car ils ont ce côté "adulte". Chicken Little est dans ce cas.

Complètement déjanté dans son récit comme dans son design, ce film Disney est une parodie de science-fiction, d'invasion extraterrestre. Il prend aussi une distance avec les autres histoires Disney comme pour s'en moquer en tant que vilain petit canard, à l'image de son héros Chicken Little. Vision moderne et science-fictionnelle de Pierre et le loup, Chicken Little sait nous faire mourir de rire tout en nous insufflant de bonnes leçons de morale. S'attardant sur les notions d'écoute et d'amour filial, ce film d'animation nous montre que les tares nommées par la société ne sont que des tares nommées par la société. Qu'au-delà de cette vision étriquée du monde des hommes, chacun peut être grand dans son coeur. Et les plus valeureux et méritants ne sont pas toujours ceux qui brillent le plus aux yeux des autres. A l'image de ce film Chicken Little.

 

 

réalisation : Mark Dindal

Durée       : 1h 17

Année       : 2004

Origine      : E.U.

Studio       : Disney

Genres     : Comédie, Science-fiction

Partager cet article
Repost0
19 juin 2011 7 19 /06 /juin /2011 19:05

 south-park-le-film-plus-long-plus-grand-et-pas-coupe-4968-1  Quatre garnements ont reussi a assister a la projection d'un film canadien de Terance et Phillip interdit au moins de dix-huit ans. Tetanises de bonheur et transportes au septieme ciel, Stan, Kyle, Kenny et Cartman n'ont plus qu'une idee: transmettre leur savoir a leurs copines et copains verts d'envie. Bientot les enseignants sont impuissants face a l'anarchie qui s'installe. Alertees, les meres s'unissent pour que leurs rejetons se calment mais par leurs methodes expeditives provoquent la guerre entre le gouvernement canadien et la Maison-Blanche.

 

 

Un pur moment de délire avec tous les personnages de la série, le tout emballé dans une comédie musicale auto-parodiant les deux créateurs de la série, ici sous le pseudonyme de Terance et Phillip.

Les gros mots sont légions, les scènes cultes de la série sont elles aussi présentes (shoot dans le bébé) avec pleins d'autres délires. Stan amoureux à un rival, Cartman ne peut plus dire de gros mots à cause d'une puce électronique, Kyle se retrouve à nouveaux confronté à l'autorité de sa mère et Kenny se voit refuser l'entrée du paradis et finit en enfer où Satan et Saddam prépare l'invasion de la Terre. La mère de Kyle créée une révolution à l'encontre du Canada terre nourricière de Terance et Phillip engendrant un conflit quasi planétaire amenant à la destruction du monde.

Comme je le disais, c'est du pur délire. Les adaptations en film de ce genre de série ne sont pas toujours au niveau de celle-ci ( voir le film des Simpsons). Mais concernant South Park, ce film en est l'apogée. Tout le succès de la série se trouve condensé en 1h 30 et tout fonctionne à merveille. Le film fourmille d'idées plus incroyables et hilarantes les unes que les autres. Et l'animation n'est pas en reste avec un combat final genre animation japonaise entre Catman et Satan.

Que dire, tout simplement CULTE.

 

Titre Original : South Park : Bigger Longer & Uncut

Réalisation    : Trey Parker

Durée           : 1h 21

Année          : 1998

Origine         : E.U.

Genres         : Comédie musicale, Aventures

Partager cet article
Repost0
26 mai 2011 4 26 /05 /mai /2011 14:49

dragons_film_1_-43558.jpgViking malingre et indiscipliné, Harold se fait interdire par son père, chef de leur village, de prendre part aux dangereux combats à mort contre les nombreux dragons qui ne cessent de les attaquer. Mais un jour qu'il ronge son frein, le jeune écervelé blesse d'un tir de catapulte un de ces cracheurs de feu ailés. À force de patience, il parvient à apprivoiser en cachette sa victime, découvrant alors que, sous des dehors monstrueux, ces animaux cachent une sensibilité insoupçonnée.

 

 

Encore un nouveau film d'animation tout simplement génial en terme de qualité et en terme de divertissement familial.

Dragons nous plonge sur une petite île où vivent des vikings qui n'ont qu'une idée en tete : trouver le repère de dragons qui ne cessent de les attaquer pour leur voler leur bétail.

L'originalité de ce film d'animation se trouve dans le design des dragons, un design très original.  Et bien sur, chaque dragon possède son alter ego chez les vikings, que se soit par un très d'apparence ou de caractère. Même si le Fury Noctune est très proche d'une créature issue de l'interminable série Pokemon. On peut dire que le film se compose en plusieurs actes : l'entraînement mis en parallèle avec le dressage du dragon noir, l'attaque du début et l'assaut final. Mais la meilleur scène se passe lors du dressage, lorsque Harold décide d'essayer son rafistolage en plein vol. Les péripéties sont énormément mises en valeur par des prises de vues excellentes faisant monter l'adrénaline jusqu'à la maîtrise parfaite du vol. Tout simplement magnifique comme passage. Il en est de même pour l'intensité du combat final qui prend un ton très sérieux. L'émotion est à son maximum lorsque Harold risque sa vie.

Au final, on se confronte à un univers très plaisant et parfaitement détaillé et maîtrisé. Et une suite (même un troisième opus) semble être déjà en accord. Et bien sur, on s'en trouve ravi.

 

Titre Original : How to train your dragon

Réalisation   : Dean DeBlois, Chris Sanders

Durée            : 1h 33

Année            : 2010

Origine          : E.U.

Genre            : Aventures

Partager cet article
Repost0
20 mai 2011 5 20 /05 /mai /2011 16:11

tempetedeboulettesgeantes_affiche.jpg Flint Lockwood est inventeur. Jusqu'ici, toutes ses inventions bizarres, depuis les chaussures que l'on se pulvérise sur les pieds jusqu'au traducteur de pensées pour singe, ont été des échecs spectaculaires qui ont causé d'innombrables problèmes à sa petite ville, Swallow en Château.
Cette fois, Flint est bien décidé à inventer quelque chose qui rendra les gens heureux. Pourtant, lorsque sa nouvelle création, la machine à transformer l'eau en nourriture, détruit la grand-place avant de disparaître dans les nuages, il pense que sa carrière d'inventeur est définitivement fichue. Jusqu'à ce que l'incroyable se produise : il se met à pleuvoir des cheeseburgers ! Sa machine marche !
Les averses de nourriture connaissent un succès instantané, et Flint se fait vite une nouvelle amie : Sam Sparks, la présentatrice météo qui arrive à Swallow en Château pour couvrir ce qu'elle appelle " le plus formidable phénomène météo de l'histoire ".

 

Tempêtes de boulettes géantes est tout simplement génial. Le design des personnages, les couleurs éclatantes des décors et l'humour fracassant en font une comédie délirante pleine d'ingéniosité et de rebondissements. 

 

Titre Original : Cloudy With A Chance Of Meatballs

Réalisation    : Phil Lord, Chris Miller

Durée           :  1h 30

Année           : 2008

Origine         : E.U.

Genres         : Comédie fantastique

Partager cet article
Repost0
6 mai 2011 5 06 /05 /mai /2011 15:39

megamindLorsque le super vilain Megamind bat son rival Metro Man, le monde devrait être enfin à lui. Mais au lieu de ça, Megamind tombe dans le désespoir total. Il s’avère que la vie sans rival, c’est une vie sans but pour lui. Ainsi, il crée un rival nouveau, le superhéros, Titan. Malheureusement, le nouveau héros veut être un super vilain, aussi. Pris au milieu, la belle journaliste Roxanne Ritchi pose les questions difficiles: Vers Qui peut-on se tourner? Qui a ce qu’il faut pour résister à cette menace? Qui va défendre les innocents? Megamind! ça ne peut être que lui !

 

Restons dans catégorie super-héros avec Megamind.

Réinterprétation complète de l'univers de Superman dont il s'inspire, ce Megamind réinvente l'esprit héroïque en donnant la part belle à ,non pas un gentil, mais un méchant au crâne surdimensionné qui cache un cerveau de génie. Megamind-.jpg

Cette animation narre avant tout une histoire d'amour improbable entre la belle présentatrice Tv et le méchant à la peau bleue de Metrocity. Le tout perturbé par des combats de super-héros à la qualité numérique exceptionnelle. L'humour passe très bien et les personnages sont attachants. Très loin de l'aspect formaté des Indestructibles du studio Pixar, Megamind marque, justement, par son choix émotionnel et la profondeur de ses personnages.

Un divertissement très appréciable pour toute la famille.

 

 

Réalisation :  Tom McGrath

Durée           : 1h 36

Année           : 2010

Origine         : E.U.

Genre           :  Aventures

Partager cet article
Repost0
28 mars 2011 1 28 /03 /mars /2011 10:14

shrek-4.jpgAprès avoir combattu un méchant dragon, secouru une jolie princesse et sauver le royaume de son beau-père, qu'est ce qu'un ogre peut faire me mieux? Et bien, lorsque l'on s'appelle Shrek, vous vous transformez soudainement en monstre domestiqué. Au lieu de faire peur aux villageois comme il en avait l'habitude, Shrek signe maintenant des autographes. Mais qu'est-il arrivé à l'ogre qui hurlait et pestait contre son entourage? Regrettant ses jours heureux où il était un «vrai ogre», il fait un pacte avec Rumpelstiltskin, un marchandeur plutôt convaincant. Shrek se retrouve soudainement dans une version alternative de Far Far Away, où on chasse les ogres, où Rumpelstiltskin est le roi et où Shrek et Fiona ne se sont jamais rencontrés. Il tentera alors de faire tout ce qui est en son pouvoir pour sauver ses amis de ce monde malsain dans lequel ils ont tous été propulsés.

 

 

Et si tout ce qui s'était produit dans les trois premiers épisodes n'avait pas eu lieu ? Et si Shrek n'avait jamais sauvé Fiona ? Et s'il n'avait même jamais existé ?

Voilà comment relancer une intrigue où quasiment tout était déjà arrivé.

Malheureusement, on perd beaucoup dans cette histoire. Tous les personnages secondaires de l'univers de Shrek sont pour le moins laissés de côté. Ce qui est fortement dommage au vu du potentiel comique de chacun. L'histoire se concentre davantage sur Shrek, l'Ane et le chat" potelé".

Bien sûr, les anachronismes, si on peut dire ainsi, vont toujours bon train et font toujours mouches (cf. l'Ane qui chante du Florent Pagny (vf), les sorcières en pleine boîte de nuit...). Loin d'être mauvais, ce dernier opus a bien raison d'être le dernier car on sent que l'univers de l'ogre vert s'essouffle rapidement.

Mieux vaut se revoir les premiers que d'en voir des nouveaux qui au final gacheront la saga.

Il était vraiment un fin...

 

PS: je ne parle pas de la 3D qui n'est vraiment qu'accessoire ici.

 

Titre Original : Shrek Forever After

Réalisation   : Mike Mitchell

Studio          : Dreamworks Animation

Durée           : 1h 33

Année          : 2010

Origine         : E.U.

Genre           : (Dé)conte de fée

Partager cet article
Repost0
13 mars 2011 7 13 /03 /mars /2011 15:55

 

wall-e-poster-francais.jpg   Faites la connaissance de WALL-E (prononcez "Walli") : WALL-E est le dernier être sur Terre et s'avère être un... petit robot ! 700 ans plus tôt, l'humanité a déserté notre planète laissant à cette incroyable petite machine le soin de nettoyer la Terre. Mais au bout de ces longues années, WALL-E a développé un petit défaut technique : une forte personnalité. Extrêmement curieux, très indiscret, il est surtout un peu trop seul...
Cependant, sa vie s'apprête à être bouleversée avec l'arrivée d'une petite "robote", bien carénée et prénommée EVE. Tombant instantanément et éperdument amoureux d'elle, WALL-E va tout mettre en oeuvre pour la séduire. Et lorsqu'EVE est rappelée dans l'espace pour y terminer sa mission, WALL-E n'hésite pas un seul instant : il se lance à sa poursuite... Hors de question pour lui de laisser passer le seul amour de sa vie... Pour être à ses côtés, il est prêt à aller au bout de l'univers et vivre la plus fantastique des aventures !

 

Le studio PIXAR nous livre avec WALL-E un de ses plus beaux films d'animation.

Comment rendre à l'écran un Amour pur et innocent, en plus véhiculé par des machines représentatifs de deux mondes différents. Pas besoin de langage, les expressions, les gestes, les intonations, tous ce que font les robots renvoient à une gestuelle théâtrale qui a plus d'impact que n'importe quel dialogue ou discours sur l'Amour.

Nous sommes les témoins d'un amour enfantin, dans ce qu'il a de plus profond et sincère, à travers la rencontre de deux machines. On peut y voir une allégorie des classes sociales, Wall-E, l'ouvrier, seul à sa tache répétitive, vieil carcasse qui ne cesse de finir en pièces détachées, et Eve, l'élite en mission spéciale, technologie moderne, sophistiquée et ultra design. Cet amour va conduire Wall-E au confins de l'univers où les humains se terrent, gros bébés nourris  à la paille. Absorbés par la technologie communicative, ils ne savent plus parler entre eux que par des écrans interposés. La machine est devenue la nounou des réfugiés spatiaux humains qui ne savent même plus pourquoi ils attendent dans l'espace, vivant leur existence sans souci.

L'arrivée de Wall-E va perturber ce mode de vie végétative, insufflant à certains humains la révélation d'un monde au-delà de leur écran de communication. Et pourtant, c'est bien dans un monde sans violence que ces humains vivent.  Seul opposition : un ordre de non retour auquel les machines ne peuvent se soustraire. L'Homme va enfin reprendre sa vie en main et décidé de redonner vie à la planète Terre.

Un spectacle de science-fiction au sommet du genre, mélangeant haute technologie futuriste et évolution d'une espère.

Beau, émouvant, hilarant, tout simplement GRANDIOSE !

 

Studio          : Pixar

Réalisation : Andrew Stanton

Durée           : 1h 30

Année           : 2008

Origine          : E.U.

Genre            : Romantique, Science-fiction

Partager cet article
Repost0
6 mars 2011 7 06 /03 /mars /2011 13:22

 

Raiponce.jpg    Lorsque Flynn Rider, le bandit le plus recherché du royaume, se réfugie dans une mystérieuse tour, il se retrouve pris en otage par Raiponce, une belle et téméraire jeune fille à l’impressionnante chevelure de 20 mètres de long, gardée prisonnière par Mère Gothel. L’étonnante geôlière de Flynn cherche un moyen de sortir de cette tour où elle est enfermée depuis des années. Elle passe alors un accord avec le séduisant brigand… C’est le début d’une aventure délirante bourrée d’action, d’humour et d'émotion, au cours de laquelle l’improbable duo va rencontrer un cheval super-flic, un caméléon à l’instinct de protection surdéveloppé, et une drôle de bande de malfaiteurs.

 

 

  Tout le savoir-faire de Disney se retrouve dans Raiponce. La Princesse enlevée par la méchante, la tour où elle est séquestrée et où un Prince vient la délivrer. Sauf que... Là, il s'agit d'un voleur, et la Princesse est du genre très... Acrobatique. Des personnages décapants, un cheval qui se comporte comme un chien, des cheveux magiques qui font des KM et qui servent de lasso. Disney se lâche et ça fait du bien. Le spectacle est loin des premiers films Cendrillon, Blanche-neige et les 7 nains. L'esprit est plus adulte, aventureux et déjantés.

Toujours un vrai régal pour "toute la famille" !

 

Titre Original : Tangled

Studio             : Disney

Réalisation    : Byron Howard, Nathan Greno

Durée              : 1h 41

Année              : 2010

Origine            : E.U.

Genre              : Aventures

Partager cet article
Repost0
24 février 2011 4 24 /02 /février /2011 10:23

 

toy_story.jpg   Sans qu'Andy le sache, ses jouets s'animent dès qu'il a le dos tourné. Il s'agit en fait d'une véritable société, dirigée par Woody le cow-boy. Puis c'est l'anniversaire d'Andy quand il panique : l'arrivée d'un nouveau jouet "Buzz l'Eclair" pourrait bien faire passer Woody aux oubliettes. Il décide donc de ne pas se laisser faire et d'affronter ce nouveau personnage...

 

Un des tous premiers films d'animations Pixar, la branche d'animation Disney.

Ce film, à la qualité exemplaire et implaccable, nous plonge dans l'univers des jouets. Un monde qui vit lorsque nos petites têtes blondes ont le dos tourné.

L'histoire est pleines d'aventures, avec tout un petit groupe de personnages inoubliables comme Mr Patate, le Dinosaure, la Tirelire, la Bergère etc... Et le fameux voisin qui terrifie tout ce petit monde en torturant les jouets et en pratiquant des expériences, tel un savant fou, sur les jouets nous rappelle que ce film s'adresse à toute la famille. Car les films Pixar visent un public plus large mais aussi très adulte avec un humour efficace qui est très loin de déplaire aux grands (La saga Shrek du concurrent Dreamworks en est une des plus grandes preuves).

En clair, le film a tellement bien marché, que deux suites ont vu le jour.

 

Studio           : Pixar

Réalisation  : John lasseter

Durée            : 1h 21

Année            : 1995

Origine          : E.U.

Genre            : Aventures

Partager cet article
Repost0